Demoiselle Suki arrive.

La veille, Suki n'avait pas réussi à dormir tellement elle stressait. Pourquoi était-elle stressée ? Revenons quelques jours en arrière pour en connaître la raison.

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Suki, après quelques heures de shopping et de karaoké avec ses amies, rentrait chez elle. Arrivée devant sa maison, elle ouvrit sa boîte aux lettres, prit les factures, pubs et tout le tralala, et entra dans le mignon petit bâtiment bleu ciel qui se trouvait devant elle. Elle posa les lettres sur la table, monta dans sa chambre, s'installa et fit ses devoirs. Environ un quart d'heure plus tard, son petit frère rentra, accompagné de sa mère. Ils étaient allés voir un médecin. Hiru était tombé malade, une vilaine grippe. Après avoir aperçu et salué sa sœur, il alla se coucher. Deux quarts d'heure plus tard, soit une demi-heure, Suki finit ses devoirs et descendit aider sa mère à préparer le dîner. Elles papotèrent un peu puis, sa mère se souvint soudain de quelque chose.

"Au fait, il y a une lettre pour toi sur la table, une grande enveloppe marron, tu ne l'as pas vue ?"

Voici ce qui se passa dans la tête de Suki à ce moment-là :

Enveloppe marron --> Donnée le jour de l'examen du Pensionnat du Ciel --> Sert à envoyer les résultats --> A été envoyée --> A été reçue --> Est sur la table !

Elle courut au salon.

"Suki ! Fais attention, tu vas tomber.", lui cria sa mère.

Et elle tomba.

"- Itaïïe...
- Est-ce que tu vas bien ?
- Oui, oui, pas de problème.", dit-elle en se relevant.

Cette fois, elle ne courut pas et rejoignit la table basse du salon sans dommages.
Tendue, Suki eut l'impression que les secondes étaient des heures, que ses gestes étaient très lents, ces gestes qui lui annonceraient le résultat de ses examens. Finalement, après quelques secondes, heures pour Suki, la feuille était sous ses yeux. Elle le parcourut, lentement.

"Yatta !!", cria-t-elle en sautant de joie et, en tombant de nouveau.

"Iitataïïïe...", gémit-elle.

Sa mère accourut, elle, au moins, ne tombait pas, et lui demanda ce qui se passait, pourquoi avait-elle si soudainement crié et pourquoi se retrouvait-elle, encore, par terre. Suki ne répondit pas, se releva, et se mit à danser Yatta, sans la tenue, puis, s'arrêta, prête à expliquer ce qu'il se passait.

"- Maman ! J'ai été admise au Pensionnat du Ciel ! Moi qui croyais avoir totalement foiré.
- C'est une très bonne nouvelle mais ça ne réponds pas à l'autre question que je t'ai posée précédemment.
- Aanoo... Disons que... j'ai sauté et... je suis tombée.
- Encore ? Passons, quand est-ce que tu dois t'y installer ?
- Attends, je regarde. C'est pour ce week-end !
- Très bien, va préparer une liste de tes affaires, ton père va bientôt rentrer du travail et on pourra manger. Quant à ton frère, tu lui apporteras son bouillon, d'accord ?
- Ouip !"

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Voilà pourquoi Suki était tendue. Maintenant, c'est le matin du départ. Son voyage va se faire en compagnie de son père, dans sa voiture. Il est très tôt, habitant dans la région nord d'Hokaiddo et le pensionnat se trouvant à Nagaokakyō, il fallait bien partir de bonne heure. Les bagages étaient dans le coffre, sa mère et son frère dormaient encore, et son père n'attendait plus qu'elle pour refermer sa porte, entrer dans la voiture et démarrer.

"Bye bye, aozora[Hors-rp]pedaru[Hors-rp] !", lança-t-elle à sa maison avant de se diriger dans le véhicule de son père.

Le voyage se fit calme, Suki s'étant endormie dès le départ. Son père la réveilla quelques heures plus tard et avait déjà sorti ses valises. Il l'accompagna jusqu'à l'entrée et l'embrassa.

"- Fais attention à toi ma petite Suki, n'oublie de nous écrire et de nous passer des coups de fil.
- Promis, je le ferai, j'ai tout un stock de papier à lettres et de timbres ! Quant à mon portable, j'aurai toujours du forfait pour vous."

Sur ce, il partit pour ne pas lui montrer à quel point il était triste. Elle lui adressa un dernier signe de main jusqu'à qu'il ne soit plus à portée de vue. Elle se retourna, face au portail.

*Allez ! Nouveau départ sans la famille, courage Suki ! *

Elle prit ses valises, franchit l'entrée et, resta plantée devant, ne sachant pas où elle devait aller. Avec une grosse goûte de sueur,

*... On va prendre celle du milieu !*

Elle se dirigea donc vers cette porte, qui menait au hall d'entrée. Mais, ça, elle ne le savait pas.

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... Et Timy dans tout ça ? Eh bien, il est resté dans les valises pour grignoter.

La matin ou le soleil n'avais pas encore trouvé sa place dans cette obscurité.
Quelques néons prit sa place,mais rien n'empêchais la neige de tombé.
Parmit ce paysage ce trouvais un jeune homme, que pouvait-il faire à même pas 7h du mat' ?
Il entra dans une voiture, une lumière y était donc on pouvais clairement voir le visage du garçons.
Ses cheveux était long, une peau douce et des vêtements chaud.
Se garçons était placé à droite ce qui voulais dire qu'il était le deuxième passager.
Le premier garçon qui était Tsukimaru semblait l'attendre et soupirait toutes les cinq minutes.
Ses soupire s'arrêta quand la portière de gauche s'ouvrit.

" Désolé du retard Tsuki-kun. "

Une femme qui était sa mère prit place derrière le volant tout en s'excusant de son retard.

" Ce n'est pas grave, de toutes façons ont arriveras quand même en avance. "

Et oui, Tsukimaru allais faire son entrée dans le prestigieux Pensionnat
qui fait tant parlé de lui et qui avais déjà eut plusieurs futur star
prodige à son actif.
La voiture démarra, Tsuki' mit les écouteurs
de son Ipod et derrière ses oreillettes se fit entendre du rap
hardcore, celui de son frère parce qu'il aimais vraiment ça musique,
même si celle qu'il fessait lui même était d'un tout autre genre.

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La
voiture arriva après environs trois heures de route, où il s'était assoupit avec du hardcore(moi c'est mon réveil xD), la voiture s'arrêta
devant un gigantesque et sublîme pensionnat, c'était le bon.

" Nous voilà arrivé tsuki-kun. "

Tsuki
lui repondit en lui fessant la bise, il prit ses valises derrière et
entendit très vite une voix alors qui s'éloigné de sa mère dire "Fait
toi de bon amis et ne fait pas n'importe quoi !" Tsuki' lava donc une
main en la bougeant qu'une fois pour dire "aurevoir".
Tsuki' put
donc entré dans l'entre du pensionnat, il vit qu'il y avais pas mal
d'élève et encore, il était tôt, des petits sons de musiques se fessait
entendre, sans doutes d'autres élèves qui répettais.

* J'espère qu'il ni a pas que des personnes genre bourge qui si croit trop u_u *

Se jeune homme parmi tant d'autres explora les lieux du regard pour ne pas en manqué une seul miette.
Il vit très vite à cotés de lui une jolie fille, elle avais les cheveux rose, une peau qui était douce à vue d'oeil et des yeux bleu, il ne l'avais pas trop scruté du regard, sinon elle aurait put croire qu'il lui voullais du mal.
Elle avais ses valises, ce qui voullais dire qu'elle était elle aussi nouvelle.
Tsuki' fut un peu timide sur le coup et eut quelques secondes de reflexion, elle n'avais pas l'air d'être le genre de personne qu'il detestais mais ils sont partout ses gens là è_é

" Bonjour, je suis Tsukimaru Ketsueki chère mademoiselle ? "

* Je verrais un peu près comment elle est avec sa réponse, j'espère qu'elle n'est pas dans le genre coinçé, mais de toute façons elle a l'air du bonne personne. *

Tsuki' fit un petit sourire angélique, pas trop quand même, sinon sa lui ressemble pas >>.

Suki, qui n'avait pas encore ordonné à ses jambes de marcher, entendit quelqu'un lui parler. Quelqu'un qui lui était inconnu la saluait et se présentait à elle. La voix... C'était une voix masculine.

*Nooonn, il suffit d'entendre Billie Holiday, une femme peut avoir une voix assez masculine voyons. Ce n'est pas possible.*

Malgré sa tentative de persuasion, elle hésitait à se retourner pour voir qui était la personne qui venait de se présenter. Elle se nommait Tsukimaru Ketsueki. Ça ne pouvait être le nom d'une fille. Ça ne ressemblait pas au nom d'une fille. Ce n'était pas le nom d'une fille. "Alléluia" comme diraient les worms. Un tir de pistolet avait été tiré pour faire sonner une alarme. L'alarme se trouvant dans l'imaginaire de Suki, bien sûr. Un imaginaire bien trop grand, Suki était en cours de surchauffe. Elle réfléchissait trop depuis que l'alerte avait été sonnée. Vous vous demandez sûrement pourquoi une sirène retentit. Alors vous allez savoir parce que ça va vous être expliqué. C'est une alarme "Alerte, garçon à quelques mètres". Elle se demandait ce qu'elle allait faire, devrait-elle lui répondre avant de s'évanouir ou s'enfuir à toute jambe ? Ses sentiments étaient mitigés. D'un côté, elle se disait qu'il fallait qu'elle vainque sa timidité, de l'autre, elle se disait qu'elle ne saurait rien dire à part n'importe quoi qui serait embarrassant et qu'elle ferait mieux de se taire. Tous les minis-Suki travaillant dans la tête de Suki étaient affairés. Ils couraient dans tous les sens, partout, cherchant à trouver une solution, le plus rapidement possible. Rapidement, elle ne devait pas faire attendre son interlocuteur. Ils décidèrent d'organiser ses pensées puis de la faire bouger. Bouger, elle ne le fera pas vraiment, elle va seulement se retourner pour lui faire face. Pour savoir à quoi il ressemblait. Donc, elle se retourna. Horreur et damnation, même en le savant d'avance, Suki fut effrayée à la vue du jeune homme. Le fait qu'il ait deux têtes de plus que Suki ne faisait qu'aggraver les choses. Elle se sentait minuscule, craignait d'être écrasée par ce géant. Elle persista à l'observer, pensant qu'elle finirait bien par trouver un détail qui la rassurerait. Il était musclé, encore plus effrayant. Il portait un jean et une veste. Sans manches.

*Sans manches ! Mais il fait froid !*

Ensuite, Suki regarda au niveau de ce qu'il portait sur ses épaules, c'est-à-dire, une tête. À ce moment-là, elle remarqua que sa peau était bronzée. Elle se demanda s'il était métisse. Ses amies lui avaient raconté des histoires sur certains métisses, des histoires terrifiantes. Ça va de mal en pis. Et ses cheveux étaient longs ! Une de ces histoires parlait d'un métissé au cheveux longs qui avait tué une petite fille après avoir braqué une banque. Elle s'imagina à la place de la fillette et Tsukimaru à la place du braqueur.

*Et si j'arrêtais mes films ?! Ça m'aidera beaucoup !*

Elle reprit donc son observation. Elle était arrivée au niveau du visage. Ses yeux étaient bleus... Et perçant comme ceux d'un aigle. Son nez, ni trop grand ni trop petit, dans la norme quoi. Quant à sa bouche, elle portait un sourire, un sourire sadique, un sourire démoniaque, un sourire de psychopathe ! Elle avait fini de le dévisager et tout l'effrayait. Et, pour ne rien arranger, elle avait installé un long et grand silence dans la conversation qui n'y ressemblait pas. Elle était embarrassée. De nouveau, elle ne savait plus quoi faire. S'enfuir après avoir fait toutes ces erreurs pour éviter d'aggraver encore plus son cas ou demander le pardon du jeune homme qui ne lui sera jamais accordé ? Tout s'embrouilla dans la tête de Suki et son corps choisit la solution de facilité, s'enfuir. Mais, s'enfuir, pas de la manière dont pensait Suki. Non, un autre moyen.

Elle s'évanouit.

Spoiler:

Suki se réveilla dans un lit. Une infirmière, supposa Suki, lui annonça qu'elle s'était évanouie et qu'un gentil garçon l'avait emmenée à l'infirmerie. Elle ajouta qu'elle pouvait sortir, ce que fit Suki après avoir remercié l'infirmière. Puis, elle partit à la recherche de sa chambre.

» Suki Shôny
» Tsuki' le rapeur arrive
» Une arrivé Froide [Libre]